Scène culte : Mads Mikkelsen, la chemise collée au dos par la sueur, tangue sur “What a life” dans la cour d’un lycée, porté par une classe en liesse.
Les bras s’élèvent, le spectateur a soudain envie d’envoyer valser les routines. On parle d’un film qui fait trinquer le cinéma nordique — « Drunk » (aka « Another Round ») — où la bande originale devient clin d’œil complice, jusqu’à s’imprimer dans l’ADN du récit. Bienvenue dans l’autopsie de la contagion musicale la plus grisante de la décennie.
Sommaire
ToggleQuelle est la musique emblématique du film “Drunk” ?
On ne va pas y aller par quatre chemins : c’est “What a life”, morceau pop-disco de Scarlet Pleasure, qui explose littéralement à l’écran lors de la scène finale. Cette séquence a transformé une chanson danoise en hymne de liberté bien gaulée, bien que personne à l’international ne sache vraiment prononcer “Scarlet Pleasure” sans friser le ridicule.
Essayez donc de repenser au film sans ce titre : impossible. La musique du film Drunk fonctionne comme une boussole euphorique qui guide nos héros tout droit vers la libération, le tout avec une ironie alcoolisée. En deux temps trois mouvements, “What a life” réussit à emporter le public — même les plus sobres — dans une fête inavouée.
Quel est le rôle de “What a life” dans la scène finale du film “Drunk” ?
La chanson n’intervient pas n’importe où : elle éclate lors de l’ultime danse de Mads Mikkelsen, relâchant la pression de toutes les existences comprimées autour de lui. Imaginez-vous après une journée pluvieuse à Copenhague, puis soudain « What a life » démarre et tout s’illumine. La scène n’est pas seulement un beau moment de cinéma : c’est la délivrance incarnée en chorégraphie foutraque.
La chanson sert ici de catalyseur émotionnel et de déclaration d’amour exubérante à la vie qui déraille parfois. On peut sortir les mots pompeux, parler de catharsis collective ou d’ode à l’ivresse de l’instant — mais c’est aussi simple qu’une envie de se lever sur une table (ou dans une cour de lycée) et d’oublier ses deadlines pour quelques minutes.
- 🕺 Scène de danse libératrice
- 🎤 Hymne à la joie décontractée
- ⚡ Célébration de l’instant
Qui est Scarlet Pleasure, architecte de l’addiction musicale dans “Drunk” ?
Scarlet Pleasure, on dirait un nom de bar à cocktails ou d’artiste burlesque, mais il s’agit d’un groupe pop danois qui cartonne depuis les années 2010. Formé par Emil Goll (chant), Joachim Dencker (batterie) et Alexander Malone (basse), le trio pioche dans les sons groovy façon années 80 mais avec ce flegme scandinave qui fait croire qu’ils ne se forcent même pas à être cool — ils le sont.
Ce n’est pas leur premier coup d’éclat sur une bande originale, mais “What a life” pulvérise les compteurs après sa sélection par Thomas Vinterberg. Le morceau naît d’ailleurs sur un banc d’inspiration entre un sentiment d’urgence de vivre et une nostalgie post-fête.
Traduction : il colle parfaitement à des quadras totalement paumés qui décident de boire à s’en refaire une jeunesse. Fastoche. Pour ceux qui voudraient découvrir comment certains acteurs continuent leur carrière discrètement après le succès, l’exemple de Clive Rothwell témoigne d’une vie sobre, loin des projecteurs, faisant écho à la reconversion tranquille de certaines figures du cinéma.
- 🇩🇰 Groupe danois émergent
- 🎶 Influences pop, groove et funk
- 🚀 Percée internationale grâce au film
Comment accéder à la playlist officielle du film “Drunk” ou en savoir plus sur la BO ?
Bonne nouvelle : la bande originale de “Drunk” n’est pas gardée sous clé dans un bar de Copenhague. On peut retrouver la playlist officielle sur toutes les plateformes usuelles — de quoi transformer son lundi matin en after scandinave sans avoir à porter un pull à motifs géométriques.
Ce rayonnement musical, favorisé par la pop culture contemporaine, rappelle certains phénomènes viraux récemment analysés, comme ceux présentés dans cet article dédié aux recettes du succès pop et à l’influence des pensées positives mises en avant dans quelques œuvres récentes.
En dehors de “What a life”, la musique du film Drunk regorge aussi de titres sélectionnés avec vélocité par le réalisateur. On y retrouve un savant cocktail de classiques, pépites locales et morceaux atmosphériques, véritable rampe de lancement émotionnelle pour accompagner les péripéties éthyliques des protagonistes.
- 📱 Playlist officielle sur plateformes musicales
- 🔎 BO complète disponible sur services de streaming
- 🗒️ Liste des titres présente dans certains communiqués officiels
Attention à ne pas finir comme un des profs du film : choisissez un service légal pour écouter la playlist de “Drunk”. Les plateformes payantes proposent la BO en accès direct. Tester une version gratuite ? Vous risquez surtout d’ajouter des publicités aux solos de saxophone…
Cerise sur le gâteau, certains fans partagent leurs propres versions de playlists — remix inclus — sur des sites communautaires. Bref, on n’est jamais à court de beats danois pour accompagner son café ou sa soirée jeux de société sous influence juice-box.
Le plaisir coupable de la bande originale : petits secrets et big buzz

À ceux qui se demandent si la musique du film Drunk est unanimement encensée : spoiler — elle recycle toutes les critiques positives comme des verres à moitié pleins. Ce mélange de pop feel-good et de mélancolie remuante a fait swinguer des milliers de spectateurs bien au-delà des clubs scandinaves.
Quelques anecdotes traînent sous le tapis : Mads Mikkelsen a préparé la fameuse scène de danse pendant des semaines, histoire d’éviter le syndrome du Tonton bourré au mariage. Quant à Scarlet Pleasure, ils ont avoué avoir improvisé certains arrangements musicaux très tard dans le processus, comme quoi l’inspiration ne prévient pas toujours avant d’arriver… Un clin d’œil qui ajoute une touche artisanale au mélange détonant du film.
| 🎬 Élément clé | 🌈 Impact |
|---|---|
| Scène finale dansée | Cultissime, virale sur les réseaux |
| Chanson “What a life” | Symbole de liberté, tube inattendu |
| Bande originale éclectique | Effet émotionnel durable |
Questions fréquentes autour de la BO et de “What a life” dans “Drunk”
Quelle est la musique emblématique entendue lors de la scène finale du film “Drunk” ?
C’est sans conteste “What a life” de Scarlet Pleasure qui retentit pendant la dernière danse. Ce titre est devenu viral grâce à la performance euphorique de Mads Mikkelsen et symbolise la signature sonore du long-métrage.
- 🎵 Morceau final, le plus associé à “Drunk”
- 🕺 Utilisé pour exprimer la libération des personnages
Qui compose le groupe Scarlet Pleasure présent sur la BO de “Drunk” ?
Scarlet Pleasure est un groupe danois fondé par Emil Goll (chanteur), Joachim Dencker (batteur) et Alexander Malone (bassiste). Leur style fusionne pop, soul moderne et groove nordique avec beaucoup d’insouciance assumée.
- 🇩🇰 Groupe scandinave énergique
- ✨ Reconnu pour ses rythmes accrocheurs
| 🎤 Membres | Instrument |
|---|---|
| Emil Goll | Chant |
| Joachim Dencker | Batterie |
| Alexander Malone | Basse |
Comment écouter la bande originale ou retrouver la playlist officielle du film “Drunk” ?
La musique du film Drunk est disponible sur toutes les plateformes de streaming majeures. Une recherche “BO Drunk” ou “Playlist officielle Another Round” suffit généralement !
- 📱 Streaming sur smartphones/tablettes
- 💻 Écoute depuis ordinateur via plateformes
- 🔊 Connexion à des enceintes Bluetooth pour reproduire l’effet salle
Quelles sont les anecdotes connues sur l’utilisation de “What a life” dans “Drunk” ?
La chorégraphie finale a été répétée pendant des semaines, et le choix de ce titre s’est imposé tardivement après des essais multiples. Scarlet Pleasure n’imaginait pas signer le “tube d’une génération” grâce à ce passage.
- 😁 Le morceau fait désormais partie intégrante de l’identité du film
- 📈 Succès inattendu sur les réseaux sociaux après la sortie
En résumé, la bande originale de Drunk, portée par “What a life” de Scarlet Pleasure, prouve que la musique peut faire basculer un film du bon côté de la légende. Un hymne à la liberté, un groove contagieux, et une scène finale qui donne envie de danser sans lendemain. Et vous, avez-vous déjà eu envie de tout plaquer pour danser sous la pluie façon Mads Mikkelsen ? La discussion reste ouverte, verre (d’eau ?) à la main !
